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Le vendredi 14 février 2025, alors que certains célébraient la Saint-Valentin avec des bouquets et des chocolats, un homme de 58 ans pensait plutôt à s’offrir un canapé-lit pour agrémenter son salon. Une bonne affaire repérée sur Facebook : un sofa à Rs 3 500, un prix qui avait tout pour séduire. Ni une ni deux, il contacte le vendeur, un certain V. A., qui lui propose de livrer le meuble directement chez lui. Seule condition : un acompte de Rs 1 400 via MCB Cardless. Un deal en or ? Plutôt un piège bien ficelé.
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Le client, de bonne foi, effectue le paiement à un autre numéro que celui initialement affiché. « L’autre est un peu capricieux », lui explique le soi-disant vendeur. Confiant, notre acheteur attend patiemment sa livraison. Sauf que l’heure passe… puis une autre… et toujours pas de canapé. Le décor reste inchangé : ni livreur, ni sofa.
Pris d’un doute, le quinquagénaire tente d’appeler le vendeur, mais les deux numéros sont désormais hors service. Pire encore, il se rend compte qu’il a été bloqué. Adieu le canapé, bonjour l’arnaque !
Le client a déposé une plainte, mardi, pour « Computer Misuse » à la police de Pointe-aux-Sables. Dépité mais déterminé, notre acheteur floué se rend à la police, documents et captures d’écran à l’appui. L’enquête est en cours, mais une chose est sûre : dans le monde des arnaques en ligne, il vaut mieux s’asseoir sur ses économies que sur une offre trop belle pour être vraie !
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