Fabrice (prénom modifié) est au bout du rouleau. Cet habitant de Curepipe de 60 ans, qui travaille comme chauffeur pour une entreprise, déplore l’état du véhicule qu’il conduit régulièrement. « J’ai été pris en contravention parce que les pneus étaient lisses et les feux arrière ne fonctionnaient pas », explique-t-il.
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Il dit en avoir déjà informé son employeur. « J’ai également porté plainte au bureau du Travail, mais le problème reste entier », regrette-t-il.
Sollicité, Leevy Frivet, attaché de presse au ministère du Travail, explique que ce type de plaintes est pris en considération seulement si la vie du travailleur est en danger. « Nous devons savoir quelles sont les contraventions qu’a obtenues l’employé avec ce véhicule. Le propriétaire du véhicule et l’employeur seront contactés par le bureau du Travail pour les informer du cas », ajoute-t-il. « À mon niveau, je ferai le nécessaire pour vérifier si une plainte a bel et bien été enregistrée. J’avertirai l’employeur du danger que représente le véhicule. »
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