Pas moins de 33 chauffeurs d’autobus, ont été testés positifs à l’alcool ou à la drogue, depuis janvier. Ces contrôles, ont pour la plupart, eu lieu, sur des gares routières ou lors des opérations sur la route.
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Il s’agit principalement des chauffeurs d’opérateurs de bus individuels.
Dans la majorité de cas, l’intervention policière a été déclenchée suivant des informations fournies par des membres du public.
Le dernier cas en date, remonte à hier, mercredi 14 décembre, à la gare du Nord, dans la capitale. Un chauffeur d’autobus a avoué à la police avoir fumé du cannabis pendant son service.
Pour la Mauritius Bus Owners Cooperative Federation, le manque de main-d’œuvre pourrait être l’origine de l’indiscipline, de certains chauffeurs.
Avec ce type d’incidents fréquents, certains se demandent si des tests de dépistages doivent être effectués au préalable surtout dans ce genre de cas, où il s’agit du transport en commun.
L’avocat Nadeem Hyderkhan affirme lui, qu’il « peut y avoir une condition dans un contrat d’embauche entre les deux parties notamment pour effectuer des tests sanguins aléatoires ».
SJ
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