Incinérateurs des hôpitaux: la solution est là !

[[{"type":"media","view_mode":"media_large","fid":"2467","attributes":{"class":"media-image wp-image-3114","typeof":"foaf:Image","style":"","width":"350","height":"602","alt":"Jean-Marc Fantoli"}}]] Jean-Marc Fantoli

</div> Le procédé d’élimination de sa société Medical Waste Management repose sur quatre facteurs fondamentaux : les normes dictées par l’Organisation mondiale de la Santé pour la qualité de l’air ; l’utilisation d’un combustible s’inscrivant dans la signature environnementale ; aucune consommation d’eau et une réduction de 98% des déchets traités avec un résidu intégrable à l’environnement. Les deux pour cent restants peuvent être enfouis et contribuer ont ainsi à la production de gaz d’enfouissement. Néanmoins, une forte consommation d’eau sera utilisée pour le nettoyage des locaux et des véhicules. Cette eau sera fournie par une collecte d’eau de pluie.  Les déchets contaminés sont introduits dans une machine munie d’un broyeur à haute résistance. Ils sont broyés et acheminés vers une chambre inférieure. Après le broyage, la température l’intérieur de la machine est montée par vapeur d’eau jusqu’à 138°C, puis la pression augmente jusqu’à 3,8 bars. Le procédé, entièrement automatique, se déroule selon un cycle de 30 à 60 minutes. Le résultat final est constitué de broyats stériles, assimilables aux déchets ménagers. C’est pourquoi le procédé est à la fois fiable et écologique. L’équipement est conçu pour la destruction de déchets produits par les établissements de soins, laboratoires, industries pharmaceutiques, praticiens libéraux, vétérinaires et particuliers. Faits saillants du procédé : pas de fumée, pas de rejet, pas de bruits, pas de pollution, bref un système en harmonie avec Maurice île Durable. Jean-Marc Fantoli est même disposé à réaliser le projet en partenariat avec une société mauricienne et transférer son savoir-faire. Il peut aussi conseiller les autorités. L’important pour lui, c’est qu’on en finisse avec les incinérateurs, pour le grand bien de tout le monde afin de protéger l’environnement de ce pays qu’il adore, étant aussi un adepte de la plongée sous-marine qu’il vient pratiquer chez nous chaque année. Notre investisseur déplore que son projet révolutionnaire, calqué sur les normes européennes et celles de l’OMS, n’ait pas été accueilli avec enthousiasme. Alors, qu’attend le nouveau gouvernement pour prendre des mesures rapides et drastiques concernant ce fléau qui porte atteinte à la santé publique depuis tant d’années ?