L’enquête sur le vol de l’arme à feu d’un policier posté comme sentinelle devant le bureau du vice-président de la République, à Quatre-Bornes le lundi 13 avril, se poursuit. Le policier qui a été attaqué et dépouillé de son arme de service a expliqué le déroulement des faits aux enquêteurs de la Criminal Investigation Division (CID) de Quatre-Bornes, avançant avoir été surpris par son agresseur aux petites heures lundi matin. Il affirme avoir été attaqué par deux individus. L'arme à feu de calibre 32 millimètres était chargée de cinq balles.
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Le visionnage des caméras de CCTV de la localité n’a rien démontré d'anormal. Les limiers de la CID de la Western Division veulent comprendre comment les deux presumés voleurs ont pu mettre la main sur l'arme de service du policier, et ne lui ont pas volé son téléphone portable, et une somme d’argent qu’il avait sur lui.
D’un autre côté, le constable qui assurait la sentinelle est considéré comme un policier exemplaire par ses collègues. Il était en poste durant le "Last Shift", soit de 23 heures jusqu'au lendemain matin. Il a été appelé à s'expliquer sur les circonstances dans lesquelles les malfrats ont pris possession de son arme de service. Un de ses proches, connu par les services de police, devrait aussi être interpellé à des fins d’enquête.
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