Lumière Maurice : un projet pour aider les Mauriciens à se recentrer

Le projet Lumière Maurice vient d’être lancé. Initié par le Centre for Natural Healing and Meditation (CNHM) à Bonne-Terre, Vacoas, le démarrage d’une campagne nationale aura lieu bientôt. L’objectif est d’apprendre aux Mauriciens à vivre sereinement et à pouvoir réaliser leurs rêves. L’ONG tient un stand à Grand-Bassin jusqu’au 24 février.

Certes, la vie moderne a du bon mais hélas, elle nous empêche des fois à vivre en harmonie avec nous-mêmes. C’est justement pour aider à nous recentrer que le Centre for Natural Healing and Meditation (CNHM) a initié Lumière Maurice. « Ce projet vient d’être lancé il y a quelques semaines », explique Roshan Sujeebun, le secrétaire de l’ONG. « Après avoir planché dessus pendant des mois, nous avons pu dépoussiérer une technique vieille comme le monde afin de permettre aux gens de vivre en paix avec eux-mêmes et de réaliser leurs rêves les plus chers. »

Cette technique, c’est tout simplement une invocation: « Avec le temps, l’être humain a oublié qu’il est un être de lumière, d’amour, d’intelligence et qu’il possède les moyens de concrétiser tout ce qu’il veut accomplir », ajoute Roshan Sujeebun.    «Pour cela nous n’avons rien inventé, il suffit de réciter consciemment une invocation universelle pour que tout se réalise. Cela marche parce que ceux qui l’ont essayé, ont constaté un changement dans leur vie. Ils sont les premiers à avouer qu’ils sont parvenus à matérialiser leurs projets et autres souhaits. »

Pour vulgariser cette technique, le CNHM occupe actuellement un stand à proximité du lac sacré. « Nous invitons le public à nous visiter, nous avons des tableaux à leur disposition et nous allons répondre à toutes leurs questions sur ce que nous proposons et ses bienfaits. » Par ailleurs d’ici quelques semaines, CNHM, en collaboration avec le ministère de la Sécurité sociale, lance une vaste compagne de sensibilisation à travers le pays. « Nous avons déjà établi un calendrier pour une série de causeries dans les centres communautaires», indique Roshan. « Nous voulons vraiment partager cette technique avec un maximum de gens, parce que c’est vraiment efficace. »