Ibrahim Sorefan a été remis en liberté conditionnelle après avoir fourni huit cautions de Rs 35 000 chacune et signé une reconnaissance de dette de Rs 250 000.
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L’orthophoniste d’une vingtaine d’années fait face à huit accusations provisoires d’abus sexuels sur mineur.
Il a passé presque cinq mois en détention préventive après que plusieurs plaintes avaient été déposées contre lui par des élèves d’une école spécialisée des Plaines-Wilhems en août dernier.
C’est la cour suprême qui lui a accordé la liberté conditionnelle, après que le DPP avait fait appel à une décision de la cour de district de Rose-Hill en septembre dernier.
Un des proches d’Ibrahim Sorefan parle de « soulagement ». Un autre membre de sa famille affirme que « la famille a toujours cru en son innocence ».
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