En toute intimité avec Katia Moochooram

Visage angélique, silhouette de rêve, personnalité plaisante… Katia Moochooram a tout pour plaire. La top model, couronnée Miss Earth Mauritius en septembre dernier, s’est prêtée à un jeu de questions/réponses particulier. [[{"type":"media","view_mode":"media_large","fid":"5139","attributes":{"class":"media-image alignright wp-image-5938 ","typeof":"foaf:Image","style":"","width":"515","height":"706","alt":"Katia Moochooram"}}]]Votre mot préféré ? Amour Votre objet fétiche ? Mon doudou. Je sais, je suis une adulte, mais il fait partie de mon enfance. Je n’arrive pas à m’en séparer. D’ailleurs, je le surnomme « Yéyé » Un livre à emporter sur une île déserte ? Comme je serais seule sur l'île, ce serait « 50 Shades of Grey » Facebook ou téléphone portable ? Téléphone portable Ce que vous emportez toujours en voyage ? Mon chapelet Le métier que vous n’auriez pas aimé faire ? Il n’y en a pas vraiment. Mais je n’aime pas rester entre quatre murs une journée entière Ce que vous rêviez d’être lorsque vous étiez enfant ? Vétérinaire, principalement par amour pour les animaux Ce que vous aimez dans votre apparence physique ? Mon sourire Votre plus mauvais souvenir ? Une mauvaise rencontre qui a marqué ma vie. Héros/héroïne de fiction ? Wonder Woman. Elle rend toujours justice La faute qui vous inspire le plus d’indulgence ? L’oubli La plante dans laquelle vous aimeriez être réincarnée ? Lotus, vu que l’eau est mon élément Votre film culte ? Eternal Sunshine of the Spotless Mind Ce à quoi vous êtes incapable de résister ? Une bonne rougaille de saucisses préparée par maman Quel serait votre plus grand malheur ? De ne plus pouvoir voir la beauté dans la simplicité des choses Homme ou femme pour illustrer un nouveau billet de banque ? Je suis pour que ce soit une femme, mais je n’ai pas de nom en tête Si Dieu existe, qu’aimeriez-vous l’entendre vous dire après votre mort ? Que j’ai été une battante tout le long et qu'il est fier de moi Ce que vous aimeriez que l’on retienne de vous au siècle prochain ? Ma joie de vivre