Drame ce 1er janvier à Résidence Richelieu : Catalea, 18 mois, meurt après avoir été projetée au sol par un homme sous l’effet de drogue synthétique

Un terrible drame s’est produit lors du premier jour de l’an à Résidence Richelieu, Petite-Rivière. Catalea, une fillette âgée d’un an et demi, a perdu la vie après avoir été violemment projetée au sol par Josian Sylvio Edouard, un homme de 46 ans.

Le suspect, qui vivait dans la même maison que la mère de la fillette, avait été hébergé par le propriétaire des lieux en même temps que cette dernière, tous deux étant sans domicile fixe.

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La Criminal Investigation Division (CID) de Petite-Rivière a rapidement procédé à l’arrestation de Josian Sylvio Edouard. Placé en détention, il sera inculpé provisoirement pour meurtre ce jeudi 2 janvier.

Selon les premiers éléments de l’enquête, le suspect, sous l’effet de drogue synthétique, aurait violemment projeté l’enfant au sol. Un témoin oculaire a relaté à la police : « 𝐿𝘪’𝘯𝑛 𝑝𝘳𝑎𝘯 𝘣𝑒́𝘣𝑒́ 𝑙𝘢, 𝑙𝘪’𝘯𝑛 𝑝𝘪𝑙𝘦 𝘭𝑖 𝑎𝘯𝑏𝘢 ».

L’autopsie, pratiquée mercredi après-midi, a révélé que la petite Catalea est décédée des suites d’une fracture crânienne.

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Toxicomane, Josian Sylvio Edouard a affirmé aux enquêteurs avoir consommé de la drogue synthétique peu avant le drame. Il a toutefois indiqué ne pas se souvenir précisément des faits entourant l’incident. Il a déclaré : « 𝐷𝘦𝑝𝘪 7 𝘩 𝘥𝑢 𝑚𝘢𝑡𝘪𝑛 𝑚𝘰’𝘯𝑛 𝑎𝘭𝑒. 𝘈𝑠𝘵𝑒𝘳 𝘴𝑦𝘯𝑡𝘩𝑒 𝑚𝘰’𝘯𝑛 𝑝𝘳𝑎𝘯, 𝑎𝘱𝑟𝘦 𝘬𝑖𝘯𝑛 𝑎𝘳𝑖𝘷𝑒 𝑠𝘢. 𝑀𝘰 𝘱𝑎 𝑘𝘰𝑛𝘦 𝘦𝑥𝘢𝑐𝘵𝑒𝘮𝑒𝘯𝑡 𝑘𝘰𝑢𝘮𝑎 ».

Selon les informations recueillies, le drame s’est produit vers 11 heures mercredi. Le suspect, charpentier de profession, aurait pris l’enfant dans ses bras pour jouer avec elle alors qu’il était sous l’influence de drogue.

L'affaire est prise en charge par les enquêteurs de la CID de Petite-Rivière, sous la supervision du SP Gérard. L’inspecteur Baladeen, le sergent Curpen et le constable Babylone poursuivent les investigations pour éclaircir les circonstances exactes de cette tragédie.

La mère de Catalea, Anouchka, vivait depuis peu dans la maison du suspect, tous deux ayant trouvé refuge grâce à la générosité de la propriétaire des lieux.

𝐍𝐚𝐬𝐢𝐟 𝐉𝐨𝐨𝐦𝐚𝐫𝐚𝐭𝐭𝐲