Le Premier ministre en est convaincu : Youshreen Choomka « devait savoir quand l’IBA a voulu recruter un directeur ». C’est du moins ce qu’il a déclaré en réponse à une question du député Veda Baloomoody.
« Youshreen Choomka était le Chairperson de l’Independent Broadcasting Authority (IBA). Elle devait savoir quand l’organisme a voulu recruter un directeur », a souligné sir Anerood Jugnauth qui répondait à une question du député Veda Baloomoody. Le Premier ministre a fait ressortir que Youshreen Choomka a soumis sa démission du poste de présidente du conseil d’administration de l’IBA, le 25 mars. Date à laquelle sa nomination en tant que directrice a pris effet.
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SAJ a ajouté que l’Independent Commission against Corruption (Icac) et l’Equal Opportunities Commission (EOC) enquêtent sur le recrutement du directeur de l’IBA. Rajesh Bhagwan a, pour sa part, souligné que le gouvernement a tout fait pour que cette dame en devienne la directrice. « This is ridiculous » a répondu SAJ, tout en indiquant qu’il pouvait refuser de répondre à cette question vu qu’il y a une enquête. Veda Baloomoody a demandé au Premier ministre s’il ne serait pas temps de demander à la directrice de « step down » le temps que l’enquête soit bouclée. « That’s not my duty », a-t-il répondu.
« Ce sont les 26, 27, 28 et 29 octobre 2015 que la vacance du poste de directeur au sein de l’IBA avait été annoncée dans la presse. Deux personnes avaient postulé, incluant Youshreen Choomka. Compte tenu de cette faible participation, l’exercice a été annulé. Par la suite, c’est une agence de recrutement privé qui a été choisie pour mener à bien une sélection. Une nouvelle fois, cela a été annoncé dans la presse les 14, 15, 16 et 17 février 2016. 20 personnes ont postulé incluant Youshreen Choomka. Sept candidats ont été présélectionnés pour une première interview le 8 mars. à la suite de cet exercice, quatre candidats ont été retenus et convoqués pour un deuxième entretien, le 15 mars. Après l’évaluation de la dernière entrevue, Youshreen Choomka a été classée première par le jury de sélection » a expliqué le chef du gouvernement.
Andrew Scott a visité Maurice 44 fois
L’ancien conseiller de l’ex-Premier ministre Navin Ramgoolam, le professeur Andrew Scott, a effectué 44 visites au pays de mars 2006 à novembre 2014. Les dépenses engagées par l’État, en billets d’avion et pour son hébergement ainsi que pour celui des membres de sa famille, sont estimées à Rs 5 273 459. C’est ce qu’a souligné sir Anerood Jugnauth qui répondait à une question du député Mahen Jhugroo. Le chef du gouvernement a déclaré qu’Andrew Scott était un conseiller à temps partiel. Il conseillait l’ancien Premier ministre sur des dossiers économiques. <Publicité
Les bons mots
[row custom_class=""][/row]Quand Lutchmeenaraidoo socialise avec ses collègues
[[{"type":"media","view_mode":"media_large","fid":"16340","attributes":{"class":"media-image alignleft wp-image-27572","typeof":"foaf:Image","style":"","width":"250","height":"300","alt":"Vishnu Lutchmeenaraidoo"}}]]En retard pour l’ouverture des travaux, Vishnu Lutchmeenaraidoo n’a pas pu serrer la main à ses collègues du gouvernement. Il s’est donc fait un devoir, à la reprise après la pause déjeuner, d’aller saluer un maximum de personnes. D’abord Raj Dayal et Sharvanand Ramkaun, pour un échange de quelques minutes. Ensuite, c’est avec Pradeep Roopun et Eddy Boissézon qu’il a échangé des blagues. Le meilleur, il l’a réservé pour la fin : il s’est dirigé vers le Premier ministre, seul dans le Front Bench, lui a serré chaudement la main avant de lui glisser quelques mots et un sourire. Puis, il a rebroussé chemin et a repris sa place en plaisantant, au passage, avec Ivan Collendavelloo. [row custom_class=""][/row]Hanoomanjee rejette le ‘Point of Order’ de Dayal
[[{"type":"media","view_mode":"media_large","fid":"16339","attributes":{"class":"media-image alignleft wp-image-27571","typeof":"foaf:Image","style":"","width":"250","height":"300","alt":"Maya Hanoomanjee"}}]]Raj Dayal s’y est tellement mal pris que la Speaker lui a retiré l’opportunité de soulever un Point of Order. Lors d’une question sur les cocotiers plantés sur les côtes à celui qui le remplace à l’Environnement, Alain Wong, l’ex-ministre a voulu poser une question supplémentaire. Il s’agit de cocotiers plantés avant 2014. Sauf qu’au moment où Maya Hanoomanjee l’a autorisé à soulever son point, le député s’est perdu dans une longue explication difficile à comprendre. Excédée, la Speaker a rétorqué : « This is not a point of order. » Elle a ordonné au député de se rasseoir.
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