Live News

Poste de police de Phoenix : un policier tente de se tuer avec son pistolet… Il est sauvé in extremis 

Le policier a tenté de se suicider à l’arrière du poste de police de Phoenix.

Un drame a été évité de justesse, vers 4 heures dimanche. Un policier a surpris son collègue avec son arme de service à la main s’apprêtant à se donner la mort.   

Publicité

La prompte intervention de cet agent du dernier shift a permis de sauver le policier qui était visiblement dans un état de sévère dépression. 
Soupçonnant que ce dernier allait commettre l’irréparable, le constable a immédiatement tenté de le raisonner. Il a aussi fait appel à d’autres collègues du poste. Et ils ont fait de leur mieux pour ramener à la raison le policier suicidaire. 

Celui-ci était en larmes et vomissait. Il était assis sur une chaise dans la cour du poste de police. 

Il a été hospitalisé à Brown-Séquard

Son revolver était chargé de cinq balles. Il l’avait déjà retiré de son fourreau et la dirigeait vers lui avec sa main droite, alors qu’il avait la tête baissée vers le sol. 

Les policiers du dernier shift se sont tous approchés vers lui pour lui assurer de leur soutien. Ils lui ont fait comprendre que la vie valait bien d’être vécue et qu’il fallait qu’il surmonte ses problèmes. Ils ont ainsi pu le convaincre de leur remettre l’arme à feu.  

Une fois désarmé, le policier dépressif a été conduit à la « Charge Room » du poste de police. Ses collègues ont récupéré les clés du coffre-fort, utilisé pour garder les armes et les munitions. Il leur a remis les clés, l’arme et les munitions sans opposer de résistance.

Des éléments de la Divisional Support Unit avaient été mandés et ils ont conduit le policier suicidaire à l’hôpital Victoria, à Candos. Après avoir passé des examens médicaux, les médecins l’ont transféré à l’hôpital psychiatrique Brown-Séquard.

Décembre 2019 : Youshill Prayag se pend  

En décembre 2019, Youshill Prayag, 30 ans, un policier de la Special Supporting Unit, suspendu de ses fonctions en février 2019, s’est donné la mort par pendaison, à Maire, Reine-de-la-Paix. Il avait eu des soucis avec la justice. La police avait récupéré une lettre de Youshill Prayag qui sollicitait une rencontre avec le commissaire de police. Ce policier avait été arreté pour possession de drogue. Il voulait postuler pour d'autres emplois, selon les lettres qu'il avait laissées. 

Septembre 2019 : Jean-Luc Colas se donne la mort par balle 

Jean-Luc Colas, 26 ans, qui était affecté à la Special Supporting Unit, s'est tiré une balle dans la tête, avec son arme de service à l'entrée des Casernes centrales, en septembre 2019. 

Cet habitant de Vieux-Grand-Port, se trouvait dans la guérite, à l’entrée principale des Casernes centrales. Le policier et son collègue avaient pour tâche de contrôler les entrées et sorties aux Casernes centrales. À un moment donné, Jean-Luc Colas a demandé à son collègue de se diriger vers la porte d’entrée. Et peu après, il s’est tiré une balle dans la tête pour se donner la mort.

Février 2017 : Khetan Lodha se suicide devant sa tante

Un policier affecté au poste d'Albion s'était donné la mort avec son revolver de service, devant sa tante à Gros-Cailloux, en février 2017. Khetan Lodha, 31 ans, avait pris l’arme à feu et deux balles dans le coffre-fort du poste de police, faisant accroire à un collègue qu’il avait un extra duty à faire. Il s’est ensuite rendu chez lui. Peu avant le drame, il a échangé quelques mots avec sa tante. Il s’était ensuite suicidé devant elle en retournant l’arme contre lui.

 

Notre service WhatsApp. Vous êtes témoins d`un événement d`actualité ou d`une scène insolite? Envoyez-nous vos photos ou vidéos sur le 5 259 82 00 !