En toute intimité avec… Mgr Ian Ernest

Pour Le Dimanche/L’Hebdo, l’évêque de Maurice a accepté de se prêter à un exercice spécial de questions-réponses. [[{"type":"media","view_mode":"media_large","fid":"3069","attributes":{"class":"media-image alignright wp-image-4394","typeof":"foaf:Image","style":"","width":"377","height":"878","alt":"MGR Ian Ernest"}}]]Vos mots préférés ? Amour et justice. Votre objet fétiche ? Il n’y en a pas. Un livre à emporter sur une île déserte ? La Bible. Facebook ou téléphone portable ? Téléphone portable. Ce que vous emportez toujours en voyage ? Des magazines tels que The Tablet, les dossiers du Point… Le métier que vous n’auriez pas aimé faire ? Il n’y a pas de sot métier. Ce que vous rêviez d’être lorsque vous étiez enfant ? Chef d’orchestre. Ce que vous aimez dans votre apparence physique ? Pas de commentaire. Votre plus mauvais souvenir ? Me retrouver face à la mort à Bichaville, Madagascar, en 2002. Ce jour-là, j’ai été arrêté par des milices. Héros/héroïne de fiction ? Robin des bois. La faute qui vous inspire le plus d’indulgence ? L’ignorance. La plante dans laquelle vous aimeriez être réincarnée ? Pas de préférence. Votre film culte ? Les Dix Commandements. Ce à quoi vous êtes incapable de résister ? Un piano. Quand j’en vois un, je ne peux résister. Quel serait votre plus grand malheur ? Perdre ceux qui me sont proches. Homme ou femme pour illustrer un nouveau billet de banque ? Aucune idée. Si Dieu existe, qu’aimeriez-vous l’entendre vous dire après votre mort ? Viens partager ma gloire, comme promis. Ce que vous aimeriez que l’on retienne de vous au siècle prochain ? Que j’ai aidé à ce que l’homme, la femme et l’enfant vivent pleinement leur dignité humaine.