Le Comité des droits humains des Nations unies est de nouveau sollicité par Resistans ek Alternativ. Dans une correspondance envoyée à cette organisation internationale, Ashok Subron, porte-parole de Resistans ek Alternativ, accuse fermement l'État mauricien de négliger la Convention sur les droits humains.
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Selon Ashok Subron, à moins d'un an de la fin du mandat du gouvernement de Pravind Jugnauth, aucune mesure n'a été prise pour respecter les recommandations des Nations Unies formulées dès 2012.
L’obligation faite aux candidats de déclarer leur appartenance ethnique pour qu'ils puissent prendre part aux élections est un point d'inquiétude mettant ainsi en suspens la participation future de Resistans ek Alternativ aux prochaines élections. Une situation qui rappelle le scénario de 2019.
Ashok Subron insiste sur la nécessité d'une action rapide de la part du gouvernement.Il demande au gouvernement de venir de nouveau avec un mini-amendement d’ici la fête de l’indépendance en mars.
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