The Bachelor Australia 2019 - La Mauricienne Helena Sauzier : «Je vais séduire Matt Agnew en étant moi-même»

Son futur petit-ami devra être fiable, effronté et brutalement honnête, confie l’ex-candidate de Miss World Australia Helena Sauzier. D’origine mauricienne et sud-africaine, la reine de beauté âgée de 25 ans jouera prochainement dans l’émission de téléréalité The Bachelor Australia 2019, qui en est à sa 7e saison. Arrivera-t-elle à convaincre l’astrophysicien Matt Agnew ? Contactée par Le Dimanche/L’Hebdo, elle nous affirme qu’elle compte bel et bien le faire.

Astrophysicien à la Swinburne University de Melbourne et âgé de 31 ans, le séduisant Matt Agnew a décidé de passer à l’écran pour trouver l’amour. C’est une nouvelle qui a rendu plus qu’heureuses les femmes célibataires d’Australie. Celles-ci sont d’ailleurs toutes prêtes à se battre lors de la saison 2019 de The Bachelor Australia. Belles et intelligentes, elles ne lésineront pas sur les moyens pour être la future élue de Matt Agnew, qui adore voyager et qui s’avère, comme il le dit dans un entretien, être un « secret weapon in the kitchen ». 

Basée à Perth, en Australie, Helena Sauzier tentera de gagner le cœur du célibataire lors de la prochaine saison de The Bachelor 2019. Arrivera-t-elle à le séduire ? Si, dans un entretien en ligne, l’ancienne candidate de Miss World Australia révèle les qualités qu’elle recherche chez son futur petit-ami avant de monter sur scène, elle garde jalousement le secret sur comment elle compte s’y prendre. « To be myself. Simple as that », laisse-t-elle entendre.

Sa décision

C’est en voyant une publicité qu’elle décide de postuler pour cette émission de téléréalité, nous confie-elle. Et d’ajouter : « You only live once. » En précisant qu’elle s’est inscrite pour The Bachelor 2019, car elle est tout à fait prête à trouver quelqu’un avec qui elle pourra passer le reste de sa vie. Elle s’est donc dit : « Pourquoi ne pas le faire de la façon la plus folle qui soit ? »

Bien qu’Helena Sauzier anticipe que le défi sera probablement très difficile à relever, elle partage qu’elle prend cette aventure comme une opportunité pour son épanouissement personnel. Face à ses adversaires, elle compte bien donner le meilleur d’elle-même pour voler le cœur de Matt Agnew.

Née d’un père mauricien et d’une mère sud-africaine, Helena Sauzier est originaire de Curepipe. Toutefois, c’est à Péreybère qu’elle a grandi. « I had an incredibly adventurous and relaxed upbringing in the north of the island », renchérit-elle. Elle partage avec nostalgie avoir passé la plupart de son enfance à se faire des amis et à grimper aux arbres ou encore à construire des châteaux de sable en vivant sur la magnifique île tropicale multiculturelle qu’est Maurice.

Scolarisée à l’école du Nord, c’est à l’âge de 9 ans qu’Helena Sauzier met le cap sur l’Australie. Après le secondaire, elle entame un Bachelor of Health Science à l’université de Sydney. Elle nous apprend également qu’elle vient tout juste de compléter un certificat en Health and Wellness Coaching.

Son ambition

Au niveau professionnel, Helena Sauzier travaille actuellement à temps partiel dans les Ressources humaines. Et sa plus grande ambition, nous dit-elle, est d’ouvrir sa propre entreprise de coaching de santé. Précédemment, elle était éducatrice clinique en bariatrie (médecine de l’obésité) et chirurgie générale.

Véritablement férue de lecture, Helena Sauzier a dévoré, à ce jour, les pages de plus de 1 000 livres, nous dit-elle. Passionnée par ses domaines de prédilection que sont le bien-être et la santé, elle œuvre à rendre les gens heureux. Elle s’avère également être une fine œnophile. « I also love red wine. It must be my French-Mauritian background », dit-elle dans un éclat de rires. Du point de vue de la personnalité, Helena Sauzier avoue qu’elle déteste les personnes arrogantes. « I think my biggest red flag to somebody is if he is rude to wait staff. » Toutefois, la jeune Mauricienne adore les personnes gentilles, authentiques et qui ont l’esprit ouvert. « Something that I find is quite hard to come by these days », conclut-elle.