Chaque année, entre 4 500 et 5 000 conducteurs sont disqualifiés.
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C’est ce qu’indique le sergent Barlen Munusami de la Traffic Branch de la police mardi 30 août. Il intervenait dans l’émission « On en parle » animée par Tia Chenney sur Radio Plus.
Les causes du retrait du permis de conduire, explique Barlen Munusami, sont multiples :
« Par exemple, il y a l’alcool au volant. Cette infraction entraîne une disqualification du permis de conduire pour huit mois. Ensuite, il y a des infractions routières comme conduite dangereuse et homicide involontaire. »
Le sergent Barlen Munusami précise que les cas d’homicide involontaire peuvent entraîner une disqualification ou la révocation du permis de conduire dépendant de la discrétion du magistrat.
« Une révocation veut dire que le permis de conduire est “cancel”. Disqualification veut dire que le permis de conduire est retenu par la police pour une certaine période. Le permis est ensuite rendu au conducteur.
« Mais quand un permis est révoqué [“cancel”], la personne concernée doit reprendre les tests à zéro pour obtenir un nouveau permis de conduire », explique le sergent Barlen Munusami.
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