« The fact that the Constitution does not provide for a referendum for matters falling outside the ambit of section 47(3) of the Constitution, this does not preclude the Government from holding a poll to seek the views of the people on the subject of reintroducing death penalty for drug traffickers whether they are for or against. »
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Toutefois, la commission met en garde contre un éventuel vote populaire en faveur de la réintroduction de la peine de mort compte tenu des conventions internationales ratifiées par Maurice. L’opinion du Human Rights Committee selon laquelle le trafic de drogue n’est pas un crime passible de la peine de mort est notamment citée.
La commission explique sa réticence à recommander la réintroduction de la peine capitale, notamment en raison de son caractère irréversible et les méthodes peu scientifiques de la police. « The Commission will be loath to recommend the re-introduction of the death penalty mainly because of the irreversible nature of the sanction and bearing in mind the possibility of miscarriage of justice in view of the unscientific evidence based approach of the police enquiry … »
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