Après chaque élection générale, les candidats battus ou les députés sortants qui n’ont pas été candidats mais qui comptent au moins deux mandats à leur actif sont concernés par la pension contributive.
Une dizaine d’anciens ministres, députés et PPS vont ainsi toucher cette pension pour la première fois (Tableau 1). Deux anciens ministres et un ex-député, qui ont perçu cette pension par le passé, vont voir cette somme être ajustée pour les derniers mandats (Tableau 2). 25 parlementaires comptant plus d’un mandat à leur actif à l’issue des élections de 2019 sont qualifiés pour toucher cette pension (Tableau 3).
Les anciens parlementaires, avec au moins deux mandats, ont droit à une pension mensuelle maximale ou à une pension mensuelle réduite, avec à la clé une Lump Sum. Selon la formule en vigueur depuis 2010, s’il opte pour la formule sans Lump Sum, un ancien député avec deux mandats empochera environ Rs 25 000 par mois, un ancien Parliamentary Private Secretary (PPS) environ Rs 50 000 et un ancien ministre environ Rs 70 000. Ce montant s’accroît avec le nombre de mandats. Avec la formule précédente, ils auraient empoché près du double. Ce qui fait dire que les élus d’avant 2010 sont les plus chanceux.
Publicité
Notre service WhatsApp. Vous êtes témoins d`un événement d`actualité ou d`une scène insolite? Envoyez-nous vos photos ou vidéos sur le 5 259 82 00 !