À partir du 1er septembre : la limite sur les rassemblements pourrait passer à 200 personnes 

L’option d’autoriser les pique-niques à la plage à l’étude 

Aucune décision officielle n’a été prise. Mais il semblerait que le gouvernement étudie l’option d’assouplir certaines restrictions à partir du 1er septembre 2021. À commencer par la limite sur les rassemblements. « Elle pourrait passer de 50 personnes à 200 voire 250. Le gouvernement se penche encore sur la question. Les modalités doivent encore être définies », laisse-t-on entendre au bâtiment du Trésor. 

Autre changement envisagé : autoriser les pique-niques à la plage. 

« Cette option est étudiée car l’accès n’est plus restreint et les gens peuvent même nager », poursuit-on. Dans cet ordre d’idées, le gouvernement songe également à permettre aux boîtes de nuit, aux pubs et aux salles de cinéma d’opérer à nouveau. 

Si on affirme qu’une décision sera prise sous peu, un responsable du National High-Level Committee sur la COVID-19 affiche toutefois la prudence. Il fait ressortir que ces options sont seulement à l’étude et que pour l’heure, rien n’est fixé à 100 %. Il nuance que tout dépendra de la vitesse à laquelle la campagne de vaccination se poursuivra. Au jeudi 26 août, 799 170 personnes avaient déjà reçu leur première dose de vaccin et 720 784 en étaient à leur seconde. 

« Le gouvernement étudie d’abord la situation. S’il décide d’assouplir ces règlements à partir du 1er septembre, il fera ensuite une évaluation. D’autres décisions pourraient alors être prises avant la réouverture totale des frontières prévue le 1er octobre », fait comprendre notre source.

Pourquoi songer à lever les restrictions mentionnées le 1er septembre ? Du côté de l’hôtel du gouvernement, on fait valoir que c’est la date à laquelle la quarantaine pour les passagers vaccinés contre la COVID-19 passera de 14 à sept jours. Ils seront autorisés, si leur test PCR est négatif, à quitter les Resort Bubble Hotels où ils séjourneront pour aller à la découverte de l’île o ou à changer d’hébergement s’ils le souhaitent. Avec ce changement de protocole, le gouvernement ne voit pas pourquoi il devrait continuer à restreindre la limitation des activités au pays alors que des étrangers seront au pays.