Depuis la dissolution de la Special Striking Team (SST), son ancien chef, Ashik Jagai, et certains de ses hommes subissent des menaces répétées sur les réseaux sociaux. Une surveillance policière a été mise en place pour assurer leur protection.
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Le Surintendant de police (SP) Ashik Jagai, ancien patron de la défunte Police Headquarters (PHQ) Special Striking Team (SST), fait l’objet de menaces persistantes sur TikTok et Facebook depuis le changement de gouvernement. Plusieurs de ses hommes qui faisaient partie de la défunte escouade sont eux aussi ciblés. Des publications, incluant photos, noms et nouvelles affectations de plusieurs enquêteurs de la défunte SST ont suscité des inquiétudes quant à leur sécurité.
Craignant pour leur vie, certains des limiers concernés ont signalé ces menaces aux Casernes centrales. En réponse, une unité de la division de Port-Louis Nord a été mobilisée pour effectuer des patrouilles régulières aux abords du domicile du SP Ashik Jagai. Cette surveillance vise à détecter tout mouvement suspect et à prévenir d’éventuels actes malveillants.
Plusieurs unités ont été démantelées, dont la SST, le 15 novembre dernier, sur les ordres du nouveau patron des Casernes centrales, Rampersad Sooroojebally. Actuellement en congé, Ashik Jagai reprendra ses services en janvier prochain, au sein de l’Eastern Division. Outre le SP, un sergent de police ayant également servi au sein de la PHQ SST bénéficie de mesures similaires, avec des patrouilles régulières autour de son domicile.
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