« C’était une maison remplie de souvenirs. » C’est ce qu’a déclaré Nazoomah après la démolition de son domicile ce lundi 25 septembre. « Nos enfants sont nés et ont grandi dans cette maison. Elle était remplie de bons souvenirs. Mon mari et moi avions bâti cette habitation. Aujourd’hui, ce n’est plus qu’un tas de débris », se lamente-t-elle. Nazoomah indique ne pas savoir où aller, à présent qu’ils n’ont plus de toit. « Azordi mo lakaz inn kraze. Mo pena oken plas pou reste. Mo fami pe eparpile. Saken pe bizin al ress dan so kote. »
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