Jack Bizlall ne compte pas laisser sir Anerood Jugnauth passer la main à son fils sans mot dire.
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Le syndicaliste et homme politique s’en est remis à la présidente de la République en lui envoyant une lettre, le 22 janvier, faisant suite à une première envoyée le 31 octobre 2016 sur le même sujet. Dans la dernière lettre, il prévient la présidente qu’il se réserve le droit de contester la nomination de Pravind Jugnauth comme Premier ministre. « Considering that A.
Jugnauth may have acted anti-constitutionally in the light of Section 1 of our constitution; and that you yourself may be acting unconstitutionally in the light of Sections 28 (1); 31 (1), 58 (1), and specifically Section 64 (3) and Section 65 of the constitution; I give you notice of my ever preserved right to contest your decision if you happen to appoint P. Jugnauth PM, and A. Jugnauth Minister of any government that may be proposed to you by P. Jugnauth », peut-on lire dans la conclusion de cette lettre.
Selon Jack Bizlall, Anerood Jugnauth n’a respecté ni la Constitution ni la notion même de République et de démocratie représentative. Dans la première lettre datée du 31 octobre 2016, Jack Bizlall avait demandé à la présidente de ne pas laisser le Premier ministre « usurp your powers under Section 59 of the Constitution, by making statements that when he will resign from his office as Prime minister, to allow his son P. Jugnauth to take over », entre autres.
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