Le constable Veerasamy est celui qui a tiré sur Bhavish Rosun. Il soutient qu’il a tiré pour protéger les enfants et leur mère. « J’ai visé les jambes », dit-il.
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Trois coups de feu ont été tirés. Bhavish Rosun s’est écroulé. Il a été touché au cou, à l’estomac et au visage.
Son décès a été certifié à 20 h 40 par un médecin du SAMU. Interrogé, un expert de la force policière explique que le facteur humain joue un rôle déterminant durant des interventions pareilles. « Sur le terrain, la décision doit être prise en quelques secondes », dit-il.
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