José Arunasalom a-t-il réellement envoyé un courriel anonyme portant atteinte à l’intégrité de son leader Ivan Collendavelloo ?
Publicité
Ce membre du Muvman Liberater (ML) avait rendez-vous aux Casernes centrales ce vendredi matin. Son iPad et son ordinateur portable devaient être examinés. Malheureusement, en raison d’un ennui technique, l’exercice a été renvoyé à la semaine prochaine. Les appareils saisis à son domicile, à Flic-en-Flac, le mercredi 2 mars, dans le cadre de l’enquête ouverte par la Cybercrime Unit du Central Criminal Investigation Department (CCID), il y a un peu plus de deux mois, à la suite d’une plainte déposée par le n° 4 du gouvernement. Ivan Collendavelloo avait signalé qu’un courriel anonyme avait été adressé à des membres du ML ainsi qu’à lui-même à propos d’un « cadeau » de Rs 20 millions qu’il aurait perçu. L’équipe de l’assistant-commissaire de police Heman Jangi avait alors sollicité un Judge’s Order pour déterminer de quelle IP address le courriel avait été transmis. Il s’avère que l’adresse est celle de l’ancien ministre mauve du Tourisme. Placé devant cet élément lors de son interrogatoire under warning mercredi, José Arunasalom a expliqué que son accès Internet a dû être piraté. Même si le CCID dit avoir de « strong evidence» contre l’ancien ministre, il a préféré solliciter un avis légal avant de procéder à l’inculpation de celui-ci. Joint au téléphone, José Arunasalom n’a pas voulu faire de commentaire sur cette affaire.
Notre service WhatsApp. Vous êtes témoins d`un événement d`actualité ou d`une scène insolite? Envoyez-nous vos photos ou vidéos sur le 5 259 82 00 !